2010: ELLE EST VICTIME DU VACCIN H1N1 À 11 ANS. 2021: ELLE N'EST TOUJOURS PAS GUÉRIE NI INDEMNISÉE !

Il y a 11 ans, des parents d'adolescents avaient décidé de vacciner leurs enfants car ils pensaient bien faire. Hélas pour certains de ces enfants, leur jeunesse a été complètement brisé. Pour l'un de ses enfants par exemple, 11 ans après, toujours pas de guérison en vue et concernant l'indemnisation, c'est toujours le parcours du combattant pour les parents qui, en attendant, règlent la facture des frais en médicaments, des frais d'avocat pour la procédure de demande d'indemnisation, sans parler des très probables périodes de stress, de déprimes et de culpabilités rattachés à la situation ... pendant que la jeune fille devenue une jeune femme de 22 ans, continue de vivre le calvaire à prendre sept pillules quotidiennement, à ne pas sortir comme les autres jeunes, à devoir dormir à la même heure tous les soirs ... et subir comme effets secondaires invalidant, LA NARCOLEPSIE. Une maladie qui vous endort de manière incontrôlable, à n'importe qu'elle moment et qui risque de vous provoquer des chutes. Difficile dans ces conditions d'espérer avoir un jour le permis de conduire.
Pour information, la jeune fille devenue adulte aujourd'hui, n'est pas la seule victime des effets secondaires graves des vaccins faits à la hâte et administrés pendant la dite "Pandémie H1N1" de 2010. Ci-dessous, une ancienne vidéo vous précisant d'autres cas de Narcolepsie.
Si, comme ces parents il y a 11 ans, vous êtes sur le point de vacciner votre enfant contre le COVID-19 pour diverses raisons, "voyage", "peur", "pression sociale" ... réfléchissez bien. Car si un jour il vous arrive quelque chose avec votre enfant, tous ces politiques, ces professionnels de la santé et ces médias qui vous en encouragés à piquer votre gamin, ne seront plus là demain pour vous faire ces beaux sourires d'hypocrites ou de belles paroles de croyants invétérés à la cause vaccinale.
01) Retenez que, factuellement, selon les chiffres actuels de la mortalité, le COVID-19 ÉPARGNE TRÈS LARGEMENT les enfants, les adolescents et les jeunes. Dans quelques très très rares cas, il touche des jeunes qui sont déjà fragilisés par une autre maladie grave.
Ci-dessous, les derniers chiffres des décès COVID publiés sur "Santé Publique France". (Cliquez sur l'image ci-dessous ou ici pour télécharger les derniers chiffres du 22 Juin 2021)
Résultats : Sur 67 Millions d'habitants, seul 08 enfants de 0 à 14 ans sont des décès dit "Covid".
Ce qui représente 0,00001 % de risque que votre enfant soit touché mortellement par le dit "Covid".
02) Retenez aussi que, factuellement, selon les chiffres actuels des déclarations d'effets indésirables, le vaccin PFIZER a produit 22.233 cas d'effets indésirables potentiellement liés au vaccin Comirnaty de PFIZER dont 6.152 cas d'effets secondaires graves.
Ci-dessous, les derniers chiffres de ces effets indésirables du vaccin PFIZER publiés sur l'ANSM ( l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de Santé. )
Cliquez sur l'image ci-dessous ou ici pour télécharger les derniers chiffres màj du 04 juin 2021
Résultats effrayant ? : Sur 6.152 effets indésirables graves déclarés après la vaccination PFIZER, 633 concernent des Décès ?????????????
03) Et l'histoire se répète, des plaintes sont déposées car parfois les effets indésirables observés juste après la vaccination, sont fatales. Ci après, un dernier exemple récent parmis tant d'autres d'un pauvre homme ayant perdu sa femme après s'être faite inoculée le vaccin COVID d'Astrazeneca qui avait pourtant reçu une Autorisation de Mise sur le Marché CONDITIONNELLE.
Cliquez ici ou sur l'image ci-dessous pour accéder à l'article paru sur "Ladépêche.fr".
LE PLUS DRAMATIQUE, C'EST QU'IL Y A DE FORTES CHANCES DE VOIR CE PAUVRE HOMME SE BATTRE ENCORE DANS 10 ANS POUR SA FEMME COMME LE SONT ENCORE AUJOURD'HUI CERTAINES VICTIMES DES VACCINS DE LA DITE "PANDÉMIE H1N1".
Merci de partager ces informations pour aider les Polynésiens à décider librement et en toutes connaissances de causes à se faire vacciner ou pas.