35 chercheurs, universitaires, médecins: "Le conseil scientifique devrait être refondé ou supprimé."
Rappel: Le rôle du conseil scientifique covid-19 du gouvernement Macron a un impact important sur les mesures prises nationalement mais aussi, directement ou indirectement, localement, en Polynésie. Il est intéressant de constater leurs diverses annonces alarmistes qui parfois ne correspondent pas avec la réalité des chiffres officiels (?) ou de voir les potentiels conflits d'intérêts régnant dans ce conseil scientifique influent (Cliquez ici ).
Ainsi, face au constat présentant une situation sanitaire aux mesures disproportionnées, un collectif de 35 chercheurs, universitaires et de médecins estiment, dans une tribune publiée dans Le Parisien ( source 1 : Cliquez ici ) que ce conseil scientifique :
"devrait être refondé ou supprimé".
Voici quelques extraits provenant de l'article paru dans Le Parisien :
" Nous, scientifiques et universitaires de toutes disciplines, et professionnels de santé, exerçant notre libre arbitre et notre liberté d'expression, disons que nous ne voulons plus être gouvernés par et dans la peur. "
" Nous ne sommes pas en guerre mais confrontés à une épidémie qui a causé 30 décès le 9 septembre, contre 1438 le 14 avril. La situation n'est donc plus du tout la même qu'il y a 5 mois. "
"... cette crise doit nous unir et nous responsabiliser, pas nous diviser ni nous soumettre."
"Il ne faut pas confondre la responsabilisation éclairée avec la culpabilisation moralisatrice, ni l'éducation citoyenne avec l'infantilisation."
"Nous appelons également l'ensemble des journalistes à ne plus relayer sans distance une communication qui est devenue contre-productive."
La suite tout aussi intéressante à découvrir dans l'article paru hier. ( Cliquez ici ).
Parmi le collectif on retrouve le Professeur Toussaint qui a déjà eu l'occasion de s'exprimer sur la situation sanitaire actuel, à contre-courant des annonces alarmistes du gouvernement.
Aujourd'hui, ci-dessous, le Professeur Toussaint c'est exprimé sur CNEWS à propos de ce conseil scientifique qui selon lui "n'est plus légitime".